Quels sont les 11 types et formes de e-commerce qui existent en 2025 ?

Le e-commerce est une méthode de vente assez récente, qui repose essentiellement sur Internet, et dont la croissance ne cesse de progresser.

En effet, le e-commerce a encore battu des records 2024 : les transactions en ligne ont atteint 175,3 milliards d’euros, en hausse de 9,6 % sur un an, et la part du ecommerce dans le commerce de détail pèse désormais 11 % selon la Fevad.

Bien évidemment, les entreprises proposant des produits à la vente pour le client particulier sont particulièrement nombreuses.

Mais il existe aussi d'autres types de boutique sur le web, visant différents types de cibles.

Elles sont donc autant d'autres opportunités à saisir, notamment si vous avez pour ambition d'ouvrir votre boutique en ligne.

Laissez-moi vous éclairer sur ce sujet et vous détailler les différentes formes d'e-commerce déjà en place…

Définitions et avantages des principaux modèles professionnels

B2C, du professionnel au client

Le principe B2C est celui auquel on pense spontanément lorsque l'on parle de sites d’e-commerce.

Cet acronyme signifie « Business to Consumer » et désigne toutes les transactions effectuées entre une entreprise et des consommateurs particuliers.

Autrement dit, il s'agit du modèle de vente le plus populaire sur le Web.

En B2C, les entreprises commerciales vendent en direct à des particuliers. Le client est le consommateur final du produit ou du service vendu.

Pour y voir plus clair, prenons un exemple. Lorsque vous achetez des chaussures auprès d'un magasin de chaussures en ligne (pour les porter vous-même ou pour les offrir) comme Sarenza, il s'agit bien d'une transaction commerciale électronique entre une entreprise vendeuse et un consommateur. Il s'agit donc d'une forme B2C d’e-commerce.

Dans le jargon professionnel, lorsque l'on parle de B2C, cela intègre également toute la communication s'articulant autour de la vente en elle-même, à destination des clients privés potentiels ou existants. Autrement dit, le modèle B2C inclut aussi toute la gestion marketing orientée vers le consommateur.

Généralement, les articles ou services vendus en B2C sont fabriqués en série et sont majoritairement destinés à un usage privé, comme sur Decathlon par exemple.

La décision d'achat, quant à elle, revient à un seul client ou à un tout petit groupe d'individus. En ce sens, il s'agit d'un principe très différent du B2B avec ses propres avantages.

B2B, les transactions entre professionnels

Le B2B est un type de commerce entre professionnels. Cet acronyme désigne le concept « Business to Business », c'est-à-dire inter-entreprises.

Par exemple, cela peut concerner des relations commerciales entre un fabricant ou un grossiste et un détaillant.

Si vous vous lancez dans l'aventure du ecommerce, vous entretiendrez certainement deux types d'ecommerce.

En premier lieu, vous aurez nécessairement besoin d'acheter vos articles auprès d'un fournisseur. Comme vous serez un professionnel, il s'agira donc d'une relation B2B.

Puis, vous revendrez les produits que vous avez vous-même achetés à des clients particuliers. Dans ce cas, vous basculerez dans une relation B2C. Ces deux types de modèles sont donc parfaitement complémentaires.

Le e-commerce B2B n'est pas orienté vers le client final. Il ne s'adresse qu’à une base de données d’entreprises. Les produits achetés et l’expérience de vente ne sont donc pas les mêmes.

Tandis que le B2C concerne essentiellement le produit fini, physique, fabriqué en série, le B2B intègre différents types d’articles comme des matières premières, pouvant ensuite être reconditionnées ou combinées avant d'être vendues aux consommateurs.

Par exemple, dans le secteur de la restauration, METRO France permet aux établissements d’acheter en ligne des denrées et du matériel dans des quantités adaptées aux établissements et aux pros.

En B2B, le processus d'achat et de négociation est généralement plus long. En effet, il intègre très souvent plus d'acheteurs.

Par ailleurs, leur expertise n'est pas la même que celle des clients particuliers. Les professionnels savent précisément ce qu'ils veulent et ont donc des attentes beaucoup plus techniques. Le message marketing qui leur est fourni n'est donc pas le même que lorsqu'il s'agit de s'adresser à des clients particuliers.

Manutan est un autre exemple de commerce électronique B2B : pour l’équipement général et les fournitures d’entreprise, ce site vend en ligne aux professionnels, du mobilier et de l’outillage aux emballages et consommables de bureau.

En e-commerce B2C, la stratégie marketing est de déclencher l'émotion chez l'acheteur. B2B, les achats sont souvent beaucoup plus rationnels et reposent sur des données tangibles, concrètes et mesurables. L'acheteur cherche avant tout à rationaliser son achat, pour ensuite en retirer la meilleure rentabilité possible.

B2A, entre entreprise et administration

Le B2A signifie "Business to Administration". Cette forme de commerce électronique se rapproche quelque peu du B2B et ne s'adresse pas directement aux derniers utilisateurs de la chaîne.

Il s'agit de transactions réalisées entre les entreprises et les administrations en ligne. Cela peut également s'appeler B2G, pour « Business to Gouvernment ». Il s'agit exactement du même modèle.

Le B2A concerne toutes les relations entre les entreprises et les autorités publiques. Il s'agit généralement d'échanger des documents d'ordre juridique ou administratif comme Impots.Gouv en France notamment.

Si cette forme s'est considérablement développée au cours des dernières années, c'est avant tout parce que les entreprises et les administrations traitent de plus en plus sur le web, afin d'accélérer les procédures.

L’électronique améliore leur efficacité et le B2A ne cesse donc de gagner du terrain. Différents outils et formulaires peuvent désormais être téléchargés directement en ligne. Le paiement des taxes se fait lui aussi par l'intermédiaire d'Internet.

Besoin d'un exemple pour mieux comprendre ? Lorsqu'une entreprise doit effectuer le paiement de ses impôts, comme sa TVA ou sa taxe foncière des entreprises, l'administration lui envoie une notification via un service dédié sur Internet.

Dès réception de l'avis d'impôts, l'entreprise paye la taxe due à l'État. Il s'agit bien d'un échange commercial entre une société et l’administration, entre une boutique en ligne et un service public français, par exemple. C'est donc bel et bien une solution d'e-commerce B2A.

C2C : "Consumer to Consumer", tout simplement !

Le modèle C2C, « Consumer to Consumer », se rapporte à la gestion de produits ou de services entre les clients eux-mêmes. Il s'agit d'une forme de magasin en ligne en plein essor et qui ne nécessite pas de magasin physique.

Le principe est simple : en tant que particulier, vous avez un objet à vendre. Il vous suffit de déposer une annonce sur des plateformes spécialisées pour qu'un autre acheteur particulier vous contacte et achète votre produit. Il s'agit d'une économie parallèle à celle mise en place par les magasins et les professionnels, qui se développe de plus en plus.

Si ce système existe depuis la nuit des temps, dès l'origine de l'économie notamment par l'intermédiaire du troc, il passe aujourd'hui par un canal beaucoup plus récent : Internet.

Le web a considérablement changé la donne en matière de seconde vie d'objets. Désormais, les choses dont vous ne vous servez plus ne sont plus mises à la poubelle. Elles se revendent et servent à d'autres utilisateurs, comme sur Leboncoin.

Autrefois, la page “petites annonces” était laissée au commerçant physique, ne permettant aux vendeurs que de toucher une population très restreinte.

Désormais, le e-commerce C2C va beaucoup plus loin et profite de l'essor des sites Internet pour les ventes en ligne, une solution pour que les particuliers puissent ainsi toucher des acheteurs potentiels dans toute la France, par exemple.

Principal intérêt de l’expérience C2C : l'absence d'intermédiaire et donc des prix plus bas, soit autant d'occasions de faire de bonnes affaires.

Notez au passage que le C2C peut tout autant concerner les ventes de produits que de services. Par exemple, l’activité de taxis improvisés entre particuliers, mieux connue sous le nom de Blablacar, est bien une forme de C2C.

C2B, la vente de produit ou service du client au professionnel

Le C2B change totalement la donne et renverse complètement le profil traditionnel du commerce électronique. Il s'agit du commerce type « Consumer to Business », c'est-à-dire du consommateur vers l'entreprise.

Vous ne voyez pas comment cette gestion d'e-commerce peut fonctionner ? Et si je vous parle de financements participatifs ou projets de crowdfunding ?

En C2B, les particuliers mettent leurs produits ou services à leurs prix et à disposition des acheteurs commerciaux via des outils ou un logiciel dédiés.

Ainsi, si une entreprise décide de croire en un projet, elle n'a plus qu'à investir dans celui-ci, en contrepartie par exemple de parts dans l'entreprise ou de collecte de données.

Besoin d'un autre exemple ? Le modèle commercial iStockPhoto ou Unsplash répondent parfaitement au C2B. Sur ces plateformes, des photographes mettent en ligne différents types de photos. Elles peuvent ensuite être achetées par des entreprises, pour décorer un réseau de magasins physiques français ou pour illustrer une page d'accueil d’un logiciel électronique par exemple.

Le modèle commercial habituel est totalement bouleversé. S'il s'agit d'une solution ecommerce à laquelle nous pensons moins spontanément mais qui marche depuis de nombreuses années.

C2A, un business model “Consumer to Administration"

Le C2A reprend exactement la même idée que dans le point précédent, avec le C2B. Cependant, cette fois, l'entreprise est remplacée par l'administration. Autrement dit, les particuliers vendent directement des produits ou des solutions en ligne aux administrations.

Par exemple, il peut s'agir de solutions de consulting pour l'élaboration de plans de formation pour l'éducation nationale ou dans la préparation de déclaration de revenus en ligne comme on peut trouver sur des plateformes de formation en ligne comme Udemy.

De même, certaines administrations peuvent parfois faire appel à des rédacteurs ou des spécialistes du design pour élaborer leurs pages Internet ou leur contenus.

Le C2A est très proche du B2A. Il se concentre essentiellement sur l'amélioration de l'efficacité au sein des administrations et du gouvernement, notamment par l'intermédiaire des nouvelles technologies d'information et de communication.

Bien entendu, la forme que vous choisirez ne sera pas le seul critère qui déterminera votre projet d'entreprise e-commerce.

D'ailleurs, comme nous l'avons vu au début de cet article, il est fort probable que vous ayez à coupler deux sortes d'e-commerce pour une seule et même activité (comme le B2B lors de vos achats et le B2C pour la revente de vos produits).

Les modèles économiques de e-commerce

Vous avez bien compris que le ecommerce était un modèle de vente global. C’est comme le dossier principal mais dans le logiciel, il y a aussi des sous-dossiers spécifiques à différents types de ventes sur Internet.

Détaillons ensemble ces sous-ensembles qui forment la grande famille du commerce électronique, pour vous aider à y voir plus clair et à entrevoir toutes les possibilités que le web peut vous offrir pour développer votre entreprise.

E-commerce traditionnel

L’e-commerce traditionnel, c’est la forme la plus directe : vous achetez vos produits ou vous les confectionnez, vous les stockez et vous les vendez sur votre propre site. Vous maîtrisez l’intégralité de l’expérience, du prix à l’expédition, en passant par le marketing jusqu’aux retours. C’est votre marque qui se développe sur un site lié à votre univers, que vous vendiez de la déco, des vêtements pour adultes, des vêtements pour enfants, des cosmétiques, des pièces détachées ou même des produits numériques.

Vous pouvez alors compter sur des solutions e-commerce complètes sur le marché comme WiziShop pour développer votre e-commerce sur le long terme avec des centaines d’intégrations pensées pour les consommateurs toujours plus exigeants.

Avec ce type de vente sur le web, vous pouvez gérer le stock chez vous, dans un local, ou le confier à un partenaire spécialisé qui se chargera de l’envoi si vous vendez à l’étranger notamment.

Si vous avez aussi une boutique physique, le retrait en magasin et l’expédition depuis le point de vente permettent d’unifier l’expérience et d’accélérer la livraison.

Dans ce cas, on parle de vente “phygitale” à la fois en ligne et en magasin, souvent soutenue par des logiciels de caisse liés au CMS e-commerce pour unifier les vente online et offline.

De nombreux exemples de boutiques jouant sur les deux tableaux existent, que ce soit des franchises ou des petites boutiques de quartier.

C’est le cas quand vous achetez sur des plateformes comme Leroy Merlin : vous pouvez acheter sur leur plateforme en ligne et choisir soit la réception de votre colis à domicile soit le retrait rapide en point de vente s’il est en stock dans votre point de vente le plus proche.

L’un des principaux avantages du e-commerce traditionnel, c’est le contrôle sur la totalité de l’entonnoir de vente. Vous décidez du produit de base, du packaging, des visuels, des fiches produit, des délais de livraison, de la politique de retour et du ton de votre service client.

Vous construisez une relation durable avec vos acheteurs et vous menez votre entreprise en étoffant votre catalogue au gré des tendances, de vos créations ou de vos inspirations tout en possédant le stock que vous vendez.

Votre site est la plateforme qui vous ressemble, personnalisable à l’infini !

Dropshipping

Avec le dropshipping, la différence notable réside dans la vente sans stock. Vous publiez vos produits sur votre boutique en ligne, le client commande chez vous, vous encaissez, puis vous transmettez la commande à votre fournisseur qui expédie directement au client.

Sur le papier, c’est un moyen souple et peu coûteux de tester une idée, une nouvelle collection ou un positionnement différent si vous évoluez déjà dans la vente en ligne, ou de se lancer sans trop de tracas dans l’entrepreneuriat.

Vous pouvez rapidement vous lancer avec un solution comme Dropizi qui vous propose votre site de dropshipping clé en main accessible à tous.

En réalité, ça reste votre boutique, votre promesse et votre réputation : aux yeux du client, c’est vous le marchand.

A la rigueur, le client ne se rend pas vraiment compte que votre produit ne part pas de votre propre entrepôt mais de celui de votre fournisseur…

Vous concentrez vos efforts sur l’essentiel, à savoir le marketing et la relation client : une présentation claire des produits, un parcours d’achat simple, des pages rassurantes et un service client qui répond vite et bien.

Le point de vigilance, c’est la dépendance au fournisseur tiers qui est souvent à l’autre bout du monde.

Les délais peuvent varier, la qualité doit être contrôlée, les ruptures arrivent sans prévenir...

Alors pour réussir sur le long terme en drop, contrôlez tous les points clés de votre activité : commandez des échantillons, vérifiez les matériaux, les tailles, les finitions, shootez vos propres visuels et réécrivez les descriptions pour qu’elles correspondent à ce que l’acheteur recevra vraiment.

Votre site reste le votre : à vous de le présenter et d’en faire un écrin parfait pour les produits des meilleurs fournisseurs !

Print on demand

Le print on demand veut littéralement dire “impression à la demande” : vous créez vos visuels, vous les publiez sur votre boutique, le client passe commande, vous encaissez, puis votre partenaire (ou vous-même si vous possédez les machines pour) fabrique le produit à l’unité et l’expédie directement.

T-shirts, sweats, mugs, affiches, coques, livres photo… Vous proposez une collection de produits personnalisables sans acheter de stock à l’avance.

Pour l’acheteur, rien ne change : il commande chez vous donc il vous tient pour responsable de l’expérience.

Ce modèle est parfait pour les graphistes, pour lancer une marque créative, tester des idées rapidement, sortir des séries limitées au fil des saisons, ou proposer de la personnalisation (prénom, date, couleur).

​​Votre rentabilité dépend d’un calcul simple : le prix que vous affichez doit couvrir le coût de base du fournisseur, l’impression, l’expédition, les frais de paiement, l’emballage, le service client, la publicité et un bénéfice raisonnable.

Dans cette activité, le point central est de s’attarder sur les aspects juridiques et sur l’éthique liée aux droits d’auteur : n’utilisez pas de logos ou d’images protégés sans autorisation, créditez les illustrateurs si vous travaillez à plusieurs, et privilégiez des supports divers et si possible responsables.

L’impression à la demande évite les invendus et limite le gaspillage ce qui rend cette technique de vente pratique à condition de respecter les règles.

Marketplaces

Vendre sur une marketplace, c’est installer votre boutique au cœur d’un centre commercial en ligne déjà plein de visiteurs.

Amazon, eBay, Etsy… ces plateformes apportent une audience massive, des outils de paiement sécurisés et des pages produit standardisées avec des tunnels de paiement hyper optimisés. L’acheteur y compare le prix, la livraison, les retours et les avis en quelques secondes.

Le principal avantage est la visibilité : l’acheteur connaît la plateforme, a déjà 100% confiance, il sait comment suivre son colis et comment retourner un article.

Si votre prix est juste, si la livraison est claire et si vos avis sont bons, vous pouvez vendre à ce client qui ne serait sûrement jamais tombé sur votre site de vente en dehors de la marketplace.

La contrepartie, les règles sont fixées par la marketplace. Les commissions existent, parfois des frais fixes s’ajoutent, et la mise en avant dépend d’algorithmes qui favorisent le meilleur rapport prix / délai / fiabilité.

Pour que la place de marché propose vos produits en bonne place, vous devez donc tenir vos promesses : stock à jour, expéditions à l’heure, produits conformes aux exigences. À défaut, la visibilité chute, parfois du jour au lendemain.

Souvent, vous pouvez bénéficier des services d’expédition de la place de marché : vous envoyez votre stock à l’entrepôt et vous gérez uniquement la relation avec la marketplace qui se charge de (presque) tout.

Si vous évoluez déjà en vente en ligne avec votre propre site, utilisez les marketplaces comme un levier, pas comme une béquille.

Elles sont parfaites pour écouler un stock, ouvrir son catalogue vers un nouveau pays, ou capter des clients qui n’auraient jamais trouvé votre site.

En parallèle, construisez votre propre canal, racontez votre histoire et invitez l’acheteur à revenir sur votre site grâce à une expérience mémorable car pour votre chiffre d’affaires, vous avez tout intérêt à vendre directement par vos propres moyens. Néanmoins, à long terme, l’équilibre “marketplace + site” est un bon combo pour protéger votre entreprise.

Abonnement

L’abonnement est un type de vente qui a (encore) la côte : le client choisit une fréquence (hebdomadaire, mensuelle, bimestrielle, trimestrielle) vous encaissez automatiquement les paiements, et vous expédiez à date fixe. Magazine, box thématique, renouvellement automatique d’un produit consommable… Divers produits se prêtent à l’abonnement. Des sites comme Blissim en ont fait de la box un produit star.

Cela peut prendre la forme d’une box mensuelle “surprise”, ou d’un réassort automatique pour des produits du quotidien : café, rasoirs, lessive, croquettes pour animaux de compagnie, compléments alimentaires, cosmétiques. Ce type d’achat est désormais proposé sur des plateformes comme Amazon pour les produits consommables au quotidien.

Aux yeux du client, l’intérêt est simple : plus besoin d’y penser, un prix fixe, une livraison régulière et la possibilité de retour en cas de problème. Pour le commerçant, ça permet de lisser les prix et les marges et de minimiser les problématiques de logistique grâce à un envoi à date fixe.

Pour bien réussir dans ce type de vente en ligne, quelques règles s’imposent pour le commerçant notamment en termes de transparence en affichant clairement :

• combien coûte la formule,
• ce qu’elle comprend,
• quand partent les colis
• comment suivre la livraison
• avec ou sans engagement,
• comment résilier,
• comment “mettre en pause”
• à quel moment la prochaine facturation aura lieu

Le e-commerce ne se limite donc pas à une seule façon de vendre : il existe de multiples modèles et formats.

Le e-commerce poursuit sa croissance et offre aujourd’hui une multitude de modèles adaptés à chaque projet.

Chaque transaction en ligne reflète une logique différente, mais toutes ont le même objectif : satisfaire les consommateurs.

Qu’il s’agisse de vendre des vêtements et accessoires sur votre propre boutique, de passer par des marketplaces ou de s’inspirer d’exemples de e-commerces gagnants, les possibilités sont immenses.

L’essentiel est de trouver la formule qui correspond le mieux à votre vision et de bâtir une stratégie durable vers l’expansion de votre entreprise.

Le commerce en ligne est une formidable boîte à outils : à vous de combiner les bons modèles pour construire une activité rentable à long terme.